Qu'est-ce que l'obsédosexualité?

En guise de réponse à ce billet du Mouton Marron (allez lire aussi ce débat sur la bisexualité chez Noisette Sociale) décrivant le concept de l’asexualité, dont son expansion totalitaire est un des principaux rêves ultimes des États et de leurs gangsters des institutions religieuses, je propose, conditionnellement à un appui significatif de votre part, la création du Regroupement Francophone des Obsédosexuels! 😉

L’obsédosexualité est caractérisée par des pensées sexuelles pratiquement continuelles et une attirance sexuelle forte et significative pour plusieurs personnes, SANS VOLONTÉ DE FIDÉLITÉ SEXUELLE (mais pas nécessairement sans amour, ou même sans fidélité amoureuse: on peut très baiser avec plusieurs partenaires et n’en aimer qu’un seul), ENTRE ADULTES CONSENTANTS DE TOUS SEXES ET DE TOUTES ORIENTATIONS SEXUELLES. Dans le vocabulaire populaire méprisant de plus en plus inspiré par la rhétorique anti-sexuelle fémi-favoritiste, on dit que les femmes obsédosexuelles “souffrent de nymphomanie et sont des putes faciles” et que les hommes obsédosexuels sont des “crisses de cochons pervers qui osent refuser l’engagement de manière irresponsable”.

J’espère que vous (et cela inclut le Mouton Marron) ne douterez pas de l’existence de l’obsédosexualité. Pour paraphraser le Mouton Marron, je dirai ceci: Douter de l’obsédosexualité n’est pas mieux que de douter de l’homosexualité et de la bisexualité. C’est de l’anti-sexualisme. C’est d’autant plus une méprise de croire qu’on ne peut « devenir » obsédosexuel qu’après avoir vécu un traumatisme. Ces préjugés font partie d’un paradigme. Ainsi, on disait autrefois que les homosexuels étaient des enfants violés. Idem pour les pédophiles.

Contrairement à l’asexualité, qui fait l’affaire des États et des institutions religieuses, l’obsédosexualité est une profonde menace contre ces institutions liberticides. Je n’ai jamais douté de l’existence d’une liliputienne proportion de véritables asexuels dans la population et les obsédosexuels n’ont en général aucune critique à adresser aux asexuels, à l’exception de l’intolérance marquée de ceux-ci envers les obsédosexuels, mais je persiste à dire ceci: la quasi-totalité de ceux qui prétendent être des asexuels ont subi une répression sexuelle encore plus marquée que celle subie en moyenne par le reste de la population. Alors, le Mouton Marron a bien raison quand il dit ceci:

Je connais un minimum de trois personnes asexuelles: un gars et deux filles. Laissez-moi vous dire que ce qu’ils/elles vivent, ce n’est pas drôle du tout et que ces personnes ont tout fait pour « développer » un désir, jusqu’ici sans succès.

En effet, ce n’est pas drôle du tout de subir une répression sexuelle encore plus vigoureuse que la trop grande répression sexuelle subie en moyenne par le reste de la population…

Une question en terminant: quand est-ce que ceux qui n’aiment pas beaucoup le sexe vont cesser de se mêler de ce qui ne les regarde pas et vont foutre la paix une fois pour toutes aux obsédosexuels? À ce que je sache, contrairement à ceux qui n’aiment pas beaucoup le sexe, les obsédosexuels n’ont pas recours à la violence étatique et à l’extorsion religieuse pour forcer les autres à “subir” (sic) une sexualité encore plus débridée!

28 responses

  1. Vite comme ça, ça serait quoi la différence entre la nymphomanie et l’obsédosexualité? Je dis pas que c’est la même chose, je dois dire que je ne me suis jamais vraiment penché sur le terme nymphomane, audelà de ce qu’un peu n’importe qui peu avoir entendu, ici et là.

    Je pense que le mot clef est le consentement, d’où le problème avec le viol (bien entendu), la pédophilie, la nécrophilie (on pourrait s’obstiner que la personne est morte de toute façon, mais justement, elle ne peut consentir) et ceux et celles qui veulent faire ça avec des animaux (difficile de parler de consentement). Au-delà de ça je ne vois pas trop de problème (je n’avais pas pensé à l’inceste, je pense que ce serait du cas par cas, même si je pense que ça devrait être évité, ne serait-ce que pour les maladies) et me fiche bien de ce madame x ou monsieur x fait dans sa chambre à couché.

    Mais bon, sans vouloir trop entrer dans les détails, je me sens peu concerné par la sexualité en général de toute manière (je suppose que ça pourrait être argumenté, tout est relatif), c’est juste que ma curiosité à été piqué par le terme asexuel.

    Sinon je m’opposerai toujours à l’intolérance (homophobie par exemple) et à ce qui est intolérable (viol par exemple).

    Le problème avec le sexe c’est qu’on s’en serve pour vendre des poduits et qu’on fini par y faire référence un peu partout, à des moments plus ou moins approprié. Ça fini aussi par devenir une source de distraction, mais là dessus elles sont multiples (Go Habs, Go!) . Je veux dire par là qu’on doit être capable de parler d’autre chose (je ne vise pas personne en particulier ici, c’est juste une remarque générale).

    1. “Vite comme ça, ça serait quoi la différence entre la nymphomanie et l’obsédosexualité?”

      Aucune, mais on n’utilise jamais ce terme pour les hommes, alors j’ai inventé un terme.

      “la nécrophilie (on pourrait s’obstiner que la personne est morte de toute façon, mais justement, elle ne peut consentir)”

      La nécrophilie est un autre de ces crimes sans victime punis par la répression policière. La nécrophilie n’est pas un crime en soi, c’est le meurtre et le viol qui le sont!

      “ceux et celles qui veulent faire ça avec des animaux (difficile de parler de consentement)”

      Ça rentre dans la catégorie de la cruauté animale, selon moi.

      “Au-delà de ça je ne vois pas trop de problème (je n’avais pas pensé à l’inceste, je pense que ce serait du cas par cas, même si je pense que ça devrait être évité, ne serait-ce que pour les maladies) et me fiche bien de ce madame x ou monsieur x fait dans sa chambre à couché.”

      En autant qu’il n’y ait pas d’enfants en effet!

      “Ça fini aussi par devenir une source de distraction, mais là dessus elles sont multiples (Go Habs, Go!) .”

      HAHAHAHA! En effet! 😉

      “Je veux dire par là qu’on doit être capable de parler d’autre chose (je ne vise pas personne en particulier ici, c’est juste une remarque générale).”

      Excellent, que les anti-sexuels parlent d’autre chose, alors!

  2. Pour l’inceste, j’ai oublié de préciser que je ne pensais pas à un adulte et un jeune enfant, ce sera toujours condamnable. Mais cousin/cousine, frère/soeur (ou frère/frère, soeur/soeur, peu importe), ou même des cas où la mère ou le père aurait une relation sexuelle avec son efant, mais que celui-ci y serait consentent, car adulte.

    Je me doute que bien des gens vont dire que c’est immoral, mais là n’est pas la question. La question est de savoir, s’il y a consentement et si oui, pourquoi s’y opposer.

  3. Je ne vois pas l’objectif de ton texte, David. Au mieux, il ne m’apparaît que borné.

    Si l’asexualité n’a pas été très étudiée, elle a cependant été documentée. Quant à la répression du désir sexuel pendant la jeunesse, c’est tout à fait vrai qu’elle existe et qu’elle est puissante (j’en ai eu plus que mon compte de cette répression), mais il n’y a pas nécessairement une corrélation avec l’asexualité: on ne peut faire à ce sujet que des suppositions. D’ailleurs j’ai toujours ressenti beaucoup plus de pression m’amenant vers la sexualité que vers l’asexualité. En ce qui me concerne, c’est en premier lieu pour satisfaire les pressions sociales que je me suis déviergé, et non pas pour assouvir mon désir.

    Comme je l’ai noté sur mon blogue, il est possible que l’érotisme soit une construction sociale. Si c’est le cas, il est tout à fait probable que les asexuel-le-s le soient à cause de leur expérience. Mais quand bien même que ce serait pour une autre raison, le résultat est le même: ces gens-là ne ressentent pas de désir sexuel et/ou se satisfont par eux-mêmes. Et je pense que nonobstant la crisse de mauvaise réputation qu’on leur fait (ce sont des “femmes frigides” ou des “hommes impuissants incapables de s’occuper de leur conjoint-e”), ils ne sont pas trop inconfortables avec ça une fois qu’ils s’acceptent et arrivent à un compromis acceptable avec leurs conjoint-e-s (s’il y a lieu).

    Tu as l’air de trouver ça drôle, mon histoire de paradigme, mais ici, il y en a réellement un, qui est motivé par un certain déterminisme.

    Quant à savoir si oui ou non l’asexualité n’est qu’une réponse aux demandes de l’État et de la religion: c’est loin d’être une évidence. La religion et l’État on toujours eu intérêt à bénéficier d’une démographie explosive. Les asexuel-le-s peuvent bien entendu faire des enfants, mais en général, ils/elles font plutôt des vieilles filles avec leur chats. Seules les âmes les plus “élevées” et les plus “nobles” ont accès au célibat dans la logique du pouvoir: soit les castes religieuses. Pourquoi? Pour éviter la division du patrimoine entre héritiers au sein de l’appareil de pouvoir.

    L’Église et l’État n’ont jamais été contre la sexualité, ils ont été en faveur de son CONTRÔLE. Les manuels d’économie ménagère anciens précisent d’ailleurs tous que la femme doit “satisfaire” son mari. Autrement, les couples faisant chambre à part ont toujours été mal vus par la société, à toute époque. Quand à la sexualité, surtout la “sexualité virile” de l’homme, elle a toujours été valorisée, d’une manière qui transcende les pseudo-interdits de la religion. D’ailleurs, jusqu’à récemment, seule l’infidélité de la femme était réellement punie.

    Bref, je ne vois pas en quoi le comportement des asexuel-le-s est un corollaire à l’oppression étatique et religieuse.

    Par ailleurs, je n’ai pas vraiment de problèmes avec l’obsédosexualité.

    1. J’ai écrit justement ce texte pour provoquer le débat et obtenir de telles précisions et ton commentaire est intéressant! 🙂

      “mais il n’y a pas nécessairement une corrélation avec l’asexualité: on ne peut faire à ce sujet que des suppositions.”

      Pour les rares véritables asexuels, j’en conviens. Mais pour les autres…

      “D’ailleurs j’ai toujours ressenti beaucoup plus de pression m’amenant vers la sexualité que vers l’asexualité. En ce qui me concerne, c’est en premier lieu pour satisfaire les pressions sociales que je me suis déviergé, et non pas pour assouvir mon désir.”

      Cela est fort dommage en effet mais c’est la pression anti-sexuelle qui est fortement majoritaire.

      “Comme je l’ai noté sur mon blogue, il est possible que l’érotisme soit une construction sociale. Si c’est le cas, il est tout à fait probable que les asexuel-le-s le soient à cause de leur expérience. Mais quand bien même que ce serait pour une autre raison, le résultat est le même: ces gens-là ne ressentent pas de désir sexuel et/ou se satisfont par eux-mêmes.”

      Voilà précisément où je voulais en venir!

      “Et je pense que nonobstant la crisse de mauvaise réputation qu’on leur fait (ce sont des « femmes frigides » ou des « hommes impuissants incapables de s’occuper de leur conjoint-e »), ils ne sont pas trop inconfortables avec ça une fois qu’ils s’acceptent et arrivent à un compromis acceptable avec leurs conjoint-e-s (s’il y a lieu).”

      En effet, ce sont des conneries. Par contre, je m’interroge sur les motifs qui font en sorte qu’ils sont en couple, ou plus précisément pourquoi plusieurs asexuels sont en couple avec des non-asexuels. Ici, je réfléchis en écrivant, peut-être n’est-ce pas si important.

      “Tu as l’air de trouver ça drôle, mon histoire de paradigme, mais ici, il y en a réellement un, qui est motivé par un certain déterminisme.”

      Non, ça me va!

      Effectivement, les religions et les États ne sont pas contre la sexualité à proprement dit, mais ils répriment toute sexualité non mécanico-procréatrice. Et quant à subir le désérotisation masculine (qui relègue la sexualité au rang de mécanique procréatrice) et la répression des désirs féminins, mieux vaut quasiment être asexuel!

      “D’ailleurs, jusqu’à récemment, seule l’infidélité de la femme était réellement punie.”

      Et maintenant, les connards de fémi-favoritistes dénoncent l’infidélité masculine au lieu de favoriser l’infidélité de tous!

      “Par ailleurs, je n’ai pas vraiment de problèmes avec l’obsédosexualité.”

      Ok, ça me rassure!

      1. “Par contre, je m’interroge sur les motifs qui font en sorte qu’ils sont en couple, ou plus précisément pourquoi plusieurs asexuels sont en couple avec des non-asexuels. Ici, je réfléchis en écrivant, peut-être n’est-ce pas si important.”

        Je pense que c’est la composante principale du problème. J’arrête pas d’y penser, d’ailleurs. J’ai parlé à quelques femmes ayant un désir sexuel très faible et vivant en couple. Généralement, quand j’arrive à leur arracher quelques confidences (au prix très élevé de mes propres confidences) elles me disent qu’elles sentent qu’elles subissent les assauts constants de leur chum, généralement dépeint comme un gros cochon dégueulasse qui ne veut que les baiser. Ce que j’en ai conclu en parlant avec des gars dont la blonde avait un désir réduit, c’est que ceux-ci tentent souvent d’exciter leur blonde (qui résiste) pendant plusieurs heures avant de les convaincre d’avoir finalement une relation sexuelle. Résultat: Elle essaie de parler pendant trois heures, Il essaie de baiser pendant plusieurs heures et personne ne parvient à satisfaire ses besoins. Comme la communication ne se fait presque toujours que très mal, une diversité de préjugés se forme. “Ton chum n’est avec toi que pour te baiser”, dit une amie. A contrario: “Ton chum ne fait pas attention à toi, il ne te touche pas”. Alors que chez les amis de l’homme, on entend souvent des insultes du genre: frigide, salope, nympho, etc.

        Une connaissance à moi visite de temps en temps un couple dont la femme est asexuelle. Ils ont appris à faire des compromis, car l’homme est hypersexuel: l’homme couche de temps en temps avec ma connaissance (lui aussi un homme) et avec l’épouse de celui-ci. Le couple reste quand même relativement soudé. Parce qu’il communique, et que l’asexuelle du couple connaît et accepte sa situation. L’erreur qui est souvent commise, c’est que l’asexuel-le du couple refuse toutes les avances de son partenaire et entre dans une furie extraordinaire quand celui-ci ou celle-ci va voir ailleurs. Ça n’arrive pas quand les deux conjoint-e-s trouvent une autre manière d’exprimer la réciprocité et le respect dans leur relation que par l’exclusivité sexuelle.

        Les asexuel-le-s ne semblent pas nécessairement tous dépourvus du désir de passer leur vie avec quelqu’un. (Un désir d’ailleurs qui me fait défaut, même si toutefois je suis actuellement en couple et que cette situation me satisfait.) L’idéal pour eux est sans doute de trouver quelqu’un qui connaît le même appétit, ou encore, d’avoir de très bon-ne-s ami-e-s qui peuvent servir de palliatif à leur besoin d’affection physique.

        Mais bon, je ne suis pas sexologue, alors il est aussi possible que mes conclusions soient de la pure bullshit.

        1. Dans leur cas, il est encore moins possible de faire partie d’un couple totalement fidèle. Déjà que la fidélité obligée est une connerie pour qui que ce soit.

  4. La sexualité n’est qu’une composante secondaire de tout ce système de pensée. Il ne faut pas en être “obsédé”. D’un point de vue théorique, il suffit d’établir l’amour, et le sexe suivera.

    1. Il peut y avoir du sexe sans amour, non?

      Bon, évidemment, il faudrait aussi définir l’amour. Nous avons des définitions différentes de la masse qui croit encore que la possession est nécessaire.

      1. “Il peut y avoir de sexe sans amour, non? ”

        Oui bien sûr, mais pourquoi en parler? Il s’agit, dans ce cas, d’une simple opération mécanique.

        1. Oui, mais de toute façon, c’est plus une réplique concernant les asexuels.

          1. Je ne vois pas pourquoi les asexuels ne pourraient pas aimer comme les autres.

            1. Aucun problème avec ça, je n’ai jamais remis ça en question. Mais de là à être en couple fidèle avec un partenaire ayant plus d’envies sexuelles, ce n’est pas évident!

        2. Vous pensez que l’amour n’est pas une simple opération mécanique?

          1. Non, pas du tout… il y a beaucoup plus d’expression de soi dans l’expression de l’amour, que dans l’expression du sexe.

            De plus, l’amour en tant qu’émotion est, à la base, un processus chimique, pas un processus mécanique.

  5. Bonjour, pour l’amour à plusieurs tout est une question d’age et de situation, à mon avis, y’a un age pour les multi-conquetes et un age pour la stabilité, de même le fait d’être celibataire ouvre la porte à tout et n’importe quoi. Par contre à 2 en devenant de plus en plus serieux, la fidelité est une preuve de loyauté et respect envers l’autre. C’est comme si l’on disait qu’il est legitime de trahir son meilleur ami pour l’interet d’une autre personne qui à son tour pourrait devenir un nouvel ami, et qu’apres tout si mon meilleur ami est consentant d’être trompé, il n y a pas de probleme nous sommes des adultes responsables. En revanche, la loyauté, la fidélité, la sincérité sont des hautes valeurs, qui font qu’une personne les détenant à plus ou moins de valeur. Maintenant je n’ai pas mon mot a dire sur ce que les gens font de leur vie privée, chacun en fait ce qu’il veut, mais chez moi il en est ainsi.
    Ciao.

  6. Processus CHIMIQUE ! MDR. J’ai l’impression d’écouter un neuneu scientifique me faire une leçon de l’amour, franchement. Pour le 14 Fevrier dites à votre partenaire que l’amour n’est qu’un processus chimique, vous risquez de passer une année a dormir avec Madame Cinq doigts.

    1. Alors là, je suis un peu insulté… car vous semblez penser que ma femme est une idiote! Alison est très intelligente, je vous dirai ça. Quand je lui ai lu votre commentaire stupide, elle vous a accusé d’être un sexiste et un supernaturaliste.

      (Alison dit: “Why doesn’t he think love isn’t a chemical process, like any other emotion? I don’t understand his thought process. I’m completely baffled” Ma réponse: I don’t think he has thought processes)

      Alors, de la part de la famille Tremblay, pour cette St-Valentin, voici notre message d’amour:
      ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE!

      1. Ok, vive la liberté d’expression, allons un peu d’humour!
        Je ne vois pas ou je vous ai insulté (au contraire de votre gentil mot doux), comprenez bien que je suis libre de penser différemment de vous et de le dire. Pour moi l’amour est bien plus grand qu’une osmose chimique. L’amour animal est sans doute avant tout biologique mais concernant les humains nous parlons plutôt de sentiments et de conscience, ce qui ne révèle pas du règne animal, bien que chez L’Humain il y ait également une grande part animale. Voila pour l’explication.
        Concernant votre réaction à mon commentaire, je dirais qu’elle est une pulsion agressive (donc animale) du fait de ne pas avoir eu du recul sur ce que j’ai dis (ce qui demande de l’humour, une qualité exclusivement humaine), mais des que vous lirez ce nouveau message, j’espère que vous et votre femme serez apaisé.
        Cela dit si votre femme a prit position pour vous, c’est que vous passerez un check point de plus pour une année supplémentaire ! 🙂 et Madame Cinq doigts au placard.
        Bonne Saint Valentin

        1. Tout de même, la réaction de François, tu as couru après!

          1. Mouais, y a pas de quoi fouetter un chat. 🙂

            1. Non, mais…

              Tout de même, ce n’est pas grave, de mon point de vue.

  7. Explication :
    Madame Cinq doigts = Hand Job

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